Hitlérisme et islamisme

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Le nazisme et l’islamisme : à partir d’une conférence de 1936 qui analyse les dogmes de l’hitlérisme, nous attirerons l’attention sur les points communs entre le nazisme et le fléau actuel de l’islamisme.

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Image par Christian Dorn de Pixabay

L’Islam de la terreur

L’Islam de la terreur vient de frapper Israël. Quelques personnalités politiques françaises, que nous pourrions définir comme appartenant à La Fange Insoumise, osent relativiser l’innommable en n’employant aucunement le terme suivant pour désigner le Hamas : terrorisme.

Dans les années 1930, un autre phénomène politique, l’hitlérisme, fut certainement sous-estimé et nous en connaissons les conséquences. Je dis « politique » et je le compare à l’Islam car l’Islam déborde le concept de religion que nous employons en France pour en définir une. L’Islam est aussi politique et juridique d’où la difficulté d’en discourir lorsque nous pensons avec nos propres outils conceptuels.

Cependant, dès que nous abordons l’Islam et le terrorisme, nous nous sentons obligés d’ajouter un suffixe en « isme » afin de nous protéger des lapidaires totalitaires. Effectivement, il existe un Islam totalitaire et sanguinaire qui utilise la terreur afin de gagner une guerre sainte, religieuse, politique et juridique contre l’ensemble de l’humanité mécréante, c’est-à-dire, non soumise à l’Islam.

L’Islam est un tout. Libre à chacun de l’embrasser entièrement ou en partie.

L’hitlérisme, une politique et une religion

Naturellement, en inter-changeant les termes « religion » et « politique », je m’aventure à comparer l’islamisme à l’hitlérisme. Certes, l’Islam est une religion qui déborde sur le champ politique. Mais l’hitlérisme, politique basée sur la race, est-il également une religion ?

Munich, présentation des étendards des gardes de Hitler [cérémonie nazie] (Hoffmann) : [photographie de presse] / [Agence Rol] – disponible sur gallica.fr, site de la Bibliothèque nationale de France – 1922

Je vous invite à découvrir un ouvrage de Max HERMANT qui regroupe le contenu de deux conférences faites à l’École des Sciences politiques le 24 janvier et le 4 février 1936.

Le recueil s’intitule « Hitlérisme et Humanisme ». Le titre reste ambigu et mieux vaut examiner de plus près les intitulés des deux conférences afin d’être renseignés sur leur contenu.

Le 24 janvier 1936, Max HERMANT présente le sujet de sa prise de parole : « L’Hitlérisme, religion allemande ». Douze jours plus tard, la seconde conférence lui faite suite. Cette deuxième prise de parole qui découle de la première s’intitule « Premiers fondements d’un humanisme social ».

En isolant les deux discours, le titre de l’ouvrage perd de son opacité. Il ne s’agit pas d’un éloge à la politique d’Adolf HITLER potentiellement considérée comme un humanisme mais d’une réflexion sur la politique nazie, puis de savoir comment la combattre.

Nous nous intéresserons à la première intervention de Max HERMANT. L’ensemble est disponible sur gallica.fr, le site de la Bibliothèque nationale de France dont voici les références bibliographiques :

HERMANT Max, 1936,  Hitlérisme et Humanisme – Conférences faites à l’École des Sciences politiques, Imprimerie Paul Brodard et ateliers Joseph Taupin réunis, Coulommiers-Paris., 56 pages.

De l’importance des dates

Voici quelques dates afin de mieux comprendre le contexte des deux conférences de Max HERMANT.

1925 : le livre d’Adolf HITLER, « Mein Kampf » (Mon Combat), est édité en Allemagne.

1929 : La crise financière ébranle le monde.

1933 : Adolf HITLER alors chef du parti nazi, (Parti Ouvrier Allemand National Socialiste connu sous l’acronyme NSDAP) devient chancelier fin janvier.

1934 : Il devient Président du Reich au mois d’août. La traduction française de « Mein Kampf » paraît dans l’Hexagone.

1935 : Le 18 mars de cette année, HITLER décide unilatéralement le réarmement de l’Allemagne. [HERMANT Max 1936 : 14]

De la politique raciale

Lorsque Max HERMANT s’exprime au tout début de l’année 1936, la politique raciale des Nazis se met en place. L’antisémitisme et l’anti-christianisme sont deux éléments dont il ne doute pas un instant puisqu’il a lu les ouvrages d’HITLER et d’Alfred ROSENBERG, le philosophe nazi.

Ne vous étonnez pas si je parle ici de politique raciale, termes employés par l’auteur. L’Hitlérisme est bien une politique raciale puisque fondée, selon les nazis, sur la « race allemande ». Qu’une politique raciale soit raciste est pléonasme puisqu’elle encense une race qu’elle auto-définie aux dépens des autres qu’elle méprise, dénigre voire pourchasse et extermine.

Le parallèle entre les nazis et les terroristes qui prônent l’Islam est si flagrant que je me demande souvent comment nos compatriotes n’arrivent pas à le formuler. Serait-ce par peur ou par lâcheté ? Pour moi, aucun doute possible ! Les terroristes de l’Islam, les « islamistes » si vous préférez, se rallient au même mode de pensée : la dichotomie pur-impur. Et cette dichotomie simpliste sied aux fanatiques de tous poils. Même à l’aide d’un Quotient Intellectuel s’approchant de celui d’une huître, c’est un schème accessible : seul « le Pur » peut subsister, « l’Impur » doit être anéanti.

Ensuite, ce n’est qu’une question de vocabulaire. Les Impurs peuvent être des Chrétiens, des Juifs, des homosexuels, des mécréants, des opposants politiques etc. Si les nazis d’Hitler imposent leur vision de la pureté par la notion de race, les nazis de l’Islam l’imposent par le biais de la confession religieuse.

De la religion hitlérienne

Max HERMANT déclare que « le nationalisme socialiste [le nazisme] est un phénomène religieux »  dont l’intention est de s’attaquer à l’Europe chrétienne [HERMANT Max 1936 : 3]. Il s’appuie sur la lecture du livre intitulé « Le Mythe du XXe siècle » d’Alfred ROSENBERG, le philosophe du national-socialisme de l’époque et reprend une de ses déclarations datant du 3 octobre 1934 « […] L’époque qui s’achève est celle où l’Église était distincte de l’État. » [HERMANT Max 1936 : 5]

Cette fusion entre le religieux, le politique, l’État et la notion toute relative de pureté ressemble fortement à l’utilisation que certaines personnes font de l’Islam.

Je pense sincèrement que les terroristes du Hamas qui ont frappé Israël le week-end dernier sont dans la lignée des nazis auteurs du massacre d’Oradour-sur-Glane.

Prenons maintenant le temps de lire au moins cette première conférence de Max HERMANT. Nous y trouverons des notions importantes qui éclairent cette période bien sombre de l’Histoire. L’auteur appuie sa démonstration en insistant sur le glissement du domaine politique vers celui du dogme. Tout en parcourant ce discours couché sur papier, gardons en tête qu’il fut prononcé en janvier 1936, trois années seulement après qu’Aldolf HITLER ne devienne Chancelier.

De la guerre de civilisation

Énormément de traits font écho à notre époque qui est entrée dans une guerre de civilisation depuis le 11 septembre 2001 bien que peu d’entre nous ne s’aventurent à le formuler.

En 1936, Max HERMANT pointe du doigt la volonté d’Adolph HILTER de détruire l’Europe chrétienne en la remplaçant par une Europe nazie. Les multiples exemples qu’il formule  consolident sa démonstration. L’Europe chrétienne, selon lui, est menacée. Il mentionne, à ce sujet, les idées d’Antoine-Augustin COURNOT (1801-1877), un mathématicien, philosophe et économiste français :

« Cournot a remarqué qu’une civilisation ne se décompose que le jour où succombe la religion qui l’avait créée. » [HERMANT Max 1936 : 4]

Hitlérisme VS Fascisme

Selon Max HERMANT, le terme totalitaire utilisé en Italie et par le biais du fascisme est uniquement de portée politique par la suppression de tout autre parti politique. Par contre, sous l’Allemagne nazie, le principe totalitaire devient une « notion religieuse ». [HERMANT Max 1936 : 15]

Hitlérisme VS Communisme

Les différents régimes totalitaires sont intrinsèquement semblables dans leurs actions et leurs démarches. Le nazisme et le communisme ont de tels points communs que les passer sous silence reviendrait à être négationniste, stupide ou ignare.

Le Triomphe de la Volonté

Max HERMANT nous précise que le meilleur moyen de comprendre la notion d’âme collective est de visionner le film intitulé « Le triomphe de la Volonté » [HERMANT Max 1936 : 15] où certaines séquences exposent des milliers de jeunes Allemands qui obéissent à l’unisson.

Certes, Max HERMANT ne connaîtra jamais la République populaire de Chine mais la description qu’il donne de ce film nous rappelle les scènes de propagande de l’Empire du Milieu devenu communiste. Mais si l’auteur ignore l’avenir du Marxisme, il n’en est pas moins dupe :

« En regardant le film du Triomphe de la Volonté, l’on songe irrésistiblement à la définition donnée par Hitler du monde qu’à rêvé le marxisme : « une gigantesque organisation de bêtes de labours, sans direction. » » [HERMANT Max 1936 : 16]

Sans Dieu et nouvelle divinité

HERMANT relève toute fois une différence notable entre le Marxisme et l’Hitlérisme : la négation de Dieu chez les adeptes du communisme. Encore une fois, il n’a pas le recul nécessaire que nous avons aujourd’hui et nous pouvons affirmer qu’ici l’auteur se fourvoie.

Pour ne prendre que l’exemple de la Chine communiste, l’adage « chasser le naturel, il revient au galop » prend sens. MAO Zedong mort en 1976 est divinisé depuis lors, sa momie est visible dans le mausolée qui abrite sa dépouille. Dans les années 2000, une amie enseignant le français à Wuhan m’avait appris que la photo de MAO Zedong protégeait les chauffeurs de taxi des accidents de la route. MAO déifié est donc devenu Saint protecteur des taxis et des routes ! Étrange destinée pour le plus grand criminel de masse que la Terre ait porté.

Les enfants soldats

Il est tellement aisé de pétrir à sa guise ce qui est malléable. La jeunesse hitlérienne, les gardes rouges de MAO Zedong, les adolescents armés au nom de l’Islam : les points communs s’accumulent tristement.

Détail de la photo : Potsdam première journée des jeunesses nationales-socialistes [21 mars 1933] : défilé devant Hitler au stade : [photographie de presse] / Sennecke – Disponible sur gallica.fr site de la Bibliothèque nationale de France.

Au moment où j’écris ces quelques lignes, j’apprends qu’un professeur de français à Arras vient d’être égorgé par un jeune au nom de l’Islam ce vendredi 13 octobre 2023. Comme Samuel PATY décapité le 16 octobre 2020, le jour de la semaine choisi par le terroriste est un vendredi, jour de la prière pour les musulmans. Il n’y a pas de hasard chez les monstres de l’Islam.

Le week-end dernier, je discutais avec un ancien légionnaire qui pris part à plusieurs théâtres d’opération en Afrique. Il m’expliqua que lors d’une embuscade, lui et ses amis avaient riposté pour protéger leur vie. Ce qu’ils découvrirent par la suite le hante depuis cette funeste journée. Les assaillants neutralisés étaient de jeunes enfants lourdement armés.

Des larmes dans les yeux, le grand gaillard que j’avais en face de moi m’avouait avoir des difficultés à trouver le sommeil. Mais qu’en est-il de ceux qui ont endoctriné et armé ces gamins ? J’ai bien peur qu’ils dorment sur leurs deux oreilles.

Du nazisme et du concept de Rassenseele

Selon Max HERMANT, l’hitlérisme est un phénomène religieux :

« Cette religion […] repose sur deux dogmes qui répondent parfaitement aux aspirations de l’Allemagne : le dogme de l’âme collective et le dogme de la race, réunis par Rosenberg dans le mot de Rassenseele ». [HERMANT Max 1936 : 15]

Cette âme collective est la négation même de la personne au profit de l’individu. Là encore, le communisme et le nazisme sont en parfait accord sur cette notion qui réduit l’Homme au service de la communauté.

Concernant l’Allemagne, Max HERMANT se réfère aux Mémoires du Maréchal FOCH pour nous signaler un élément qui est loin d’être anodin : la double nationalité systématique des Allemands nés dans un autre pays. En d’autres termes, la nation allemande était déjà à l’époque du Maréchal une nation de conquête.

Du nazisme à l’islamisme

Au fil de ces quelques lignes, nous avons démontré les similitudes entre l’hitlérisme et le communisme. Nous avons aussi abordé les ressemblances frappantes entre le nazisme et l’islamisme, c’est-à-dire l’islam terroriste.

Image par OpenClipart-Vectors de Pixabay

Au début de cet article, nous avons déclaré que l’Islam est un tout. Libre à chacun de l’embrasser entièrement ou en partie. J’ai longtemps cru que les musulmans tenaient un double langage en utilisant comme façade, comme appartement témoin, l’Islam de la tolérance. Je me trompais et je le reconnais.

En réalité, l’Islam est multiple et permet le meilleur comme le pire. Tout est question d’interprétation et ceux que nous déterminons comme islamistes se reconnaissent dans l’Islam.

Des occurrences “islamisme” et “islamistes”

Comme nous l’avons déjà précisé, ce n’est que récemment que l’occurrence « islamisme » désigne un Islam radical et meurtrier. Auparavant, ce terme était synonyme d’Islam comme le nom « Mahométan » désignait un « Musulman ». L’islamisme correspondait donc normalement, de par la langue française, aux termes d’autres religions portant le même suffixe comme le Christianisme, le Bouddhisme, le Taoïsme, le Fétichisme, l’Animisme etc.

Le souci est qu’actuellement nous n’avons plus le courage de nommer un chat un chat et que nous utilisons à tort les suffixes en « isme » ou en « iste ». Les islamistes sont en fait des soldats de l’Islam qui pratiquent le Djihad à l’encontre des personnes que le Coran définit comme étant des mécréants.

D’où le véritable problème avec l’Islam car c’est au nom de cette religion que certains musulmans s’octroient le droit d’égorger et non pas au nom d’une autre.

Je suis persuadé que l’Islam de la tolérance existe dans le cœur de certains musulmans comme je sais de par l’actualité sanglante que l’Islam du terrorisme est réel. Et dans ce dernier cas, je ne mets pas en doute la foi du monstrueux assassin : lui aussi est musulman et il le revendique.

L’islam et l’impossible réforme

L’Islam a donc un réel problème qui ne pourrait se résoudre que par une réforme intégrale. Malheureusement, je n’y crois pas pour plusieurs raisons. La première est que des éléments archaïques de cette religion en sont aussi le fondement. Je pense à la lapidation, au droit de tuer les infidèles, au paradis promis pour le Djihadiste mort au nom de la foi. Les terroristes de l’Islam sont heureux de mourir après avoir fait un carnage. Pour les comprendre, il faut entrer dans la tête des monstres. La seconde raison est que l’Islam est de forme horizontale et non pyramidale. En effet, l’horizontalité multiplie le nombre de décideurs contrairement à une hiérarchie basée sur le modèle de la pyramide.

De la Oumma et de l’âme collective

La Oumma est un concept qui fait partie intégrante de l’Islam. On peut le traduire par « Nation musulmane », c’est-à-dire une nation qui déborde les frontières politiques et géographiques des autres pays puisque tout mahométan appartient de fait à la Oumma.

La Oumma chez les nazis correspondrait à l’âme collective selon moi. Ce qui est frappant est que l’appartenance dans les deux cas est liée à la naissance quelque soit le lieu. Ceux qui naissaient Allemands le restaient (Cf. la double nationalité mentionnée par le Maréchal FOCH dans ses Mémoires) et ceux qui naissent de parents musulmans le sont de fait et appartiennent donc à cette collectivité, à cette nation qui transcende toutes les autres nations.

Notons au passage qu’une simple caricature enflamme cette dernière et prouve l’existence de cette âme collective nommée Oumma. Ne soyons pas dupes.

Les terroristes de l’Islam

Les terroristes de l’Islam sont les nazis de notre époque. Jets d’homosexuels du haut d’un immeuble, lapidation d’une femme jusqu’à ce que mort s’en suive, attaque à la mitraillette lors d’une rave party, d’un concert de rock ou à l’encontre de personnes paisiblement assises à la terrasse d’un café. Je continue ? Les nazis de l’Islam égorgent les prêtres et les moines car Chrétiens, ils massacrent des enfants parce que Juifs, ils exécutent des femmes qui refusent de porter le voile. Rien n’est faux dans ce que je viens d’énoncer.

Il y a une différence vestimentaire entre les nazis de l’époque hitlérienne et les islamistes. Les premiers portaient un uniforme, les terroristes islamiques frappent en traîtres, dissimulés dans l’anonymat du quotidien et mêlés à la population qu’ils attaquent. Ce sont des assassins monstrueux qui aspirent au Paradis au nom d’un Dieu qui leur offrirait 72 vierges pour avoir massacré des infidèles en son nom.

L’Islam est-elle une religion de tolérance ?

En fait, l’Islam est un tout, je dirais même que c’est « Le Tout » qui ne correspond en rien à nos concepts car trop éloigné de notre civilisation. L’Islam, ce Tout, n’est pas une religion mais correspond plutôt à l’idée que nous faisons d’une Nation constituée d’une Religion, d’une Politique, d’une Législation, d’un Code pénal, d’une Langue écrite (l’arabe pour le Coran), d’une armée de Djihadistes, d’une économie, d’un réseau marchand alimentaire, d’un code vestimentaire, d’un découpage ritualisé du temps diurne et nocturne etc.

Ce vaste ensemble est constitué d’une part de musulmans respectables et d’autre part de musulmans meurtriers et monstrueux. C’est un Tout qui pose donc problème et qu’il ne faudrait pas sous-estimé comme nous l’avons fait avec le nazisme dans les années 1930. Et la véritable question à se poser est la suivante :

En cas de conflit entre la France, par exemple, et un pays musulman, qu’adviendra-t-il des « binationaux de fait » français sur le papier ? A qui obéiront-ils ? A la nation française ou à la Oumma, cette nation qui transcende les nations ?

Je ne peux que vous conseiller la lecture des deux discours de Max HERMANT en espérant qu’ils vous apporteront un éclairage nouveau sur l’époque actuelle.

Patrick LE CHEVOIR

14 octobre 2023


Patrick LE CHEVOIR
Patrick LE CHEVOIR

Mon DEA d’Ethnologie m’a ouvert les portes de plusieurs domaines : l’Anthropologie Sociale, l’Histoire, l’Art, la Rédaction, l’Agriculture et la Politique.


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Publié par LE Xiao Long - Patrick Le Chevoir - 樂小龍

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